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#1 Aujourd’hui, alors que tous nos repères sont quelque peu chamboulés, un environnement particulier nous interroge peut-être sur nos habitudes d’hier et celles d’aujourd’hui !
Et si, ce tout petit morceau d’ARN par exemple qui nous empeste les neurones, nous invitait à moins nous projeter dans l’avenir, par contre d’apprendre à plus vivre dans l’instant présent ?
Comment apprendre à se connecter à soi-même, sur cette sensation particulière d’exister quelques instants dans son corps, dans la sensation du moment présent, dans ce qu’on fait, dans ce qu’on pense, dans ce qu’on dit aux autres, dans ce que les autres nous disent ?
Ce qui est assez remarquable, quand on arrive à faire cela, c’est de rentrer dans une « espace-temps », là ou le temps ne compte plus !
En fait, on se déplacerait avec le temps et tout à coup, quand c’est fini, on est tout surpris que ce temps passé avec Soi, soit terminé !
#2- Comment découvrir en Soi une « safe place » une petite place de confort ?
Comment ralentir quelque peu, mieux, de s’arrêter quelques instants, de trouver quelque chose qui nous rassure, quelque chose qui nous permet de nous sentir bien ?
Est-ce une image, un son, une position ?
Cela peut-être de juste de se sentir respirer, juste de respirer!
Le « Toucher de Soi », à l’aide de ses mains par exemple, tels deux stéthoscopes, avec cette intention de nous écouter, de sentir cette main se poser délicatement sur nous, comme pour nous découvrir quelque peu, tout ce précieux inestimable !
Ecouter par nos outils intelligents que sont nos mains, nos bruits intérieurs, nos murmures, nos rythmes !
Tout ce qui nous permet de se connecter à soi-même dans un monde de dispersion !
Nous avons pris l’habitude - avec toutes nos intelligences artificielles - de vivre à l’extérieur de soi-même !
Et si l’expérience actuelle serait d’aventure, une invitation royale de nous permettre de vivre également à l’intérieur de soi-même ?
#3- Les émissions de CO2 ont baissés de manière spectaculaire.
Comment se protéger intelligemment - au sein de notre environnement - sans rentrer dans un message de type négatif, anxiogène, celui d’une « décroissance », comme de se couper (de soi), de ne plus bouger, pas de consommation,pas d’industries, pas de restaurants…?
Et si la meilleure manière de baisser ce CO2, de protéger l’environnement, de diminuer la pollution, n’est pas de détruire l’économie…, par contre commencerait et pourquoi pas, par apprendre à respirer autrement, se respirer, apprendre à respirer l’autre, comme d’observer ce à quoi il nous « renvoi de nous » ?
Tenter de discerner ce qui pourrait éventuellement nous appartenir dans cette relation, dans cette situation ?
Hypothétiquement donc, essayons de ramener tout cela à nous… Comment essayer de remplacer nos infrastructures inefficientes, démodées, archaïques et polluantes … tels nos comportements, nos automatismes, nos dépendances, ce non agir en nous,…, en réveillant par exemples, cette curiosité de nous, de « dé-cé-lé-rer » tout doucement nos rythmes, d’apprendre à ventiler autrement, comme avec notre ventre ?
Comment se mettre dans une situation « d’énergies renouvelables » en nous, par exemple en redevenant curieux de nous, de nos gestes, de nos langages, verbaux et corporels,
de notre imaginaire créatif, de nos rêves, de nos résistances, nos dynamiques d’évitements, nos retenues, nos peurs…jusqu’à nos figements !
Ce serait comment de nous renouveler ?
« L’économie circulaire » pourrait ainsi redevenir alors ce « lien social », avec Soi déjà et pour commencer, avec l’altérité ensuite, précieux soutien paradoxal de notre immunité!
#4 L’Hyper-dépendance des pays riches vis à vis de la Chine par exemple … la raison de cette délocalisation pourrait nous ramener à nous poser la question :
« Alors que j’ai tout en moi, pourquoi me « délocaliser » de moi, de me disperser de la sorte » ?
Comment ramener - à la réalité de notre environnement - cette extraordinaire inter-connectivité qui pourrait éventuellement et curieusement exister en nous ?
Quel serait le risque - outre un effort de se bouger de l’intérieur – que de ré-ouvrir nos « mines» intérieures personnelles ou notre humilité, nos « industries » ou nos organes trésors, nos « fermes » ou nos intestins - bases de toute notre immunité et de nos émotions ?
Quels seraient nos bénéfices secondaires que d’apprendre à nous redécouvrir, de nous ré-approprier un agir, notre créativité, par une sorte d’introspection courageuse comme d’éveiller cette curiosité de nous et d’essayer d’en sourire disons … tout simplement ?
Comment alors – faute de nous délocaliser - rechercher ou Identifier en soi, des solutions qui seraient capables de
mettre en place une sorte de « safe place », de protéger ce nouvel espace en le « rentabilisant », comprenons bien, de donner à ce nouvel espace un peu plus de d’expansion.
#5 Les entreprises et les gouvernements, au travers de certains signaux émis aujourd’hui par notre démocratie, témoignent d’une adhésion sans précédent à cette volonté de « relance verte » -
Comment alors, ramener cette dynamique à nous ?
Comment pourrions-nous, nous relancer à la quête de ce qui est en nous, en d’autres mots : être efficient avec nous même ?
L’efficience pourrait être cette capacité en nous à obtenir un maximum de résultats avec un minimum de moyens ou d’efforts !
En d’autres termes, « comment faire mieux avec moins » !
Quels pourraient être maintenant les premiers éléments à notre disposition ?
· Notre capacité d’analyser avec discernement des situations ?
· Aiguiser nos perceptions sensorielles et intuitives ?
· Notre curiosité avec ce désir de comprendre, de savoir, de connaître des choses nouvelles, d’apprendre à se connaître ?
· La confiance en soi, ou cette sensation intérieure qui nous permet à nouveau de se fier à cette mise en place de son désir, son besoin ?
· La liberté intérieure, en osant être soi, quitte à prendre distance avec les normes imposées ?
· L’humilité, de revenir à notre « humus » personnel, en s’observant de manière réaliste, oser reconnaître sa propre faiblesse, tenir compte de ses propres limites ?
#6 « Etre un Homme, disait Antoine de St Exupéry, c’est être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde »
Comment nous encourager alors, à être responsable de nous- même d’abord, à nous ouvrir à l’expérience favorisant la connaissance de soi.
Selon les anciens taoïstes « La vie est, au mieux, un processus fluide et changeant en lequel rien n’est fixé »
« Dès que l’on m’accepte tel que je suis, je change, voilà un curieux paradoxe », relève à son tour, Carl Rogers.
Un paradoxe qui peut conduire à l’harmonie pour accueillir tendrement et fidèlement la présence de l’autre, la sienne, celle du passé qui résonne encore et qui fait écho à celle du futur.
Tout acte que je pose pourrait avoir un certain nombre de conséquences sur l‘équilibre ou le déséquilibre de l’univers dans lequel je vis.
Comment comprendre que je puis regarder l’autre de plusieurs manières suivant les filtres de perception que je vais déployer.
Ces filtres sont tout ce qui pourraient influencer notre regard sur l’autre, tels des préjugés, une méfiance, des frustrations, des illusions, des croyances, un désir… une attente interminable…
Comment comprendre que je peux me regarder de plusieurs manières également, par contre, comment accepter de me laisser regarder, juste par moi-même, de m’accepter tel que je suis… de le cultiver…
#1 Aujourd’hui, alors que tous nos repères sont quelque peu chamboulés, un environnement particulier nous interroge peut-être sur nos habitudes d’hier et celles d’aujourd’hui !
Et si, ce tout petit morceau d’ARN par exemple qui nous empeste les neurones, nous invitait à moins nous projeter dans l’avenir, par contre d’apprendre à plus vivre dans l’instant présent ?
Comment apprendre à se connecter à soi-même, sur cette sensation particulière d’exister quelques instants dans son corps, dans la sensation du moment présent, dans ce qu’on fait, dans ce qu’on pense, dans ce qu’on dit aux autres, dans ce que les autres nous disent ?
Ce qui est assez remarquable, quand on arrive à faire cela, c’est de rentrer dans une « espace-temps », là ou le temps ne compte plus !
En fait, on se déplacerait avec le temps et tout à coup, quand c’est fini, on est tout surpris que ce temps passé avec Soi, soit terminé !
#2- Comment découvrir en Soi une « safe place » une petite place de confort ?
Comment ralentir quelque peu, mieux, de s’arrêter quelques instants, de trouver quelque chose qui nous rassure, quelque chose qui nous permet de nous sentir bien ?
Est-ce une image, un son, une position ?
Cela peut-être de juste de se sentir respirer, juste de respirer!
Le « Toucher de Soi », à l’aide de ses mains par exemple, tels deux stéthoscopes, avec cette intention de nous écouter, de sentir cette main se poser délicatement sur nous, comme pour nous découvrir quelque peu, tout ce précieux inestimable !
Ecouter par nos outils intelligents que sont nos mains, nos bruits intérieurs, nos murmures, nos rythmes !
Tout ce qui nous permet de se connecter à soi-même dans un monde de dispersion !
Nous avons pris l’habitude - avec toutes nos intelligences artificielles - de vivre à l’extérieur de soi-même !
Et si l’expérience actuelle serait d’aventure, une invitation royale de nous permettre de vivre également à l’intérieur de soi-même ?
#3- Les émissions de CO2 ont baissés de manière spectaculaire.
Comment se protéger intelligemment - au sein de notre environnement - sans rentrer dans un message de type négatif, anxiogène, celui d’une « décroissance », comme de se couper (de soi), de ne plus bouger, pas de consommation,pas d’industries, pas de restaurants…?
Et si la meilleure manière de baisser ce CO2, de protéger l’environnement, de diminuer la pollution, n’est pas de détruire l’économie…, par contre commencerait et pourquoi pas, par apprendre à respirer autrement, se respirer, apprendre à respirer l’autre, comme d’observer ce à quoi il nous « renvoi de nous » ?
Tenter de discerner ce qui pourrait éventuellement nous appartenir dans cette relation, dans cette situation ?
Hypothétiquement donc, essayons de ramener tout cela à nous… Comment essayer de remplacer nos infrastructures inefficientes, démodées, archaïques et polluantes … tels nos comportements, nos automatismes, nos dépendances, ce non agir en nous,…, en réveillant par exemples, cette curiosité de nous, de « dé-cé-lé-rer » tout doucement nos rythmes, d’apprendre à ventiler autrement, comme avec notre ventre ?
Comment se mettre dans une situation « d’énergies renouvelables » en nous, par exemple en redevenant curieux de nous, de nos gestes, de nos langages, verbaux et corporels,
de notre imaginaire créatif, de nos rêves, de nos résistances, nos dynamiques d’évitements, nos retenues, nos peurs…jusqu’à nos figements !
Ce serait comment de nous renouveler ?
« L’économie circulaire » pourrait ainsi redevenir alors ce « lien social », avec Soi déjà et pour commencer, avec l’altérité ensuite, précieux soutien paradoxal de notre immunité!
#4 L’Hyper-dépendance des pays riches vis à vis de la Chine par exemple … la raison de cette délocalisation pourrait nous ramener à nous poser la question :
« Alors que j’ai tout en moi, pourquoi me « délocaliser » de moi, de me disperser de la sorte » ?
Comment ramener - à la réalité de notre environnement - cette extraordinaire inter-connectivité qui pourrait éventuellement et curieusement exister en nous ?
Quel serait le risque - outre un effort de se bouger de l’intérieur – que de ré-ouvrir nos « mines» intérieures personnelles ou notre humilité, nos « industries » ou nos organes trésors, nos « fermes » ou nos intestins - bases de toute notre immunité et de nos émotions ?
Quels seraient nos bénéfices secondaires que d’apprendre à nous redécouvrir, de nous ré-approprier un agir, notre créativité, par une sorte d’introspection courageuse comme d’éveiller cette curiosité de nous et d’essayer d’en sourire disons … tout simplement ?
Comment alors – faute de nous délocaliser - rechercher ou Identifier en soi, des solutions qui seraient capables de
mettre en place une sorte de « safe place », de protéger ce nouvel espace en le « rentabilisant », comprenons bien, de donner à ce nouvel espace un peu plus de d’expansion.
#5 Les entreprises et les gouvernements, au travers de certains signaux émis aujourd’hui par notre démocratie, témoignent d’une adhésion sans précédent à cette volonté de « relance verte » -
Comment alors, ramener cette dynamique à nous ?
Comment pourrions-nous, nous relancer à la quête de ce qui est en nous, en d’autres mots : être efficient avec nous même ?
L’efficience pourrait être cette capacité en nous à obtenir un maximum de résultats avec un minimum de moyens ou d’efforts !
En d’autres termes, « comment faire mieux avec moins » !
Quels pourraient être maintenant les premiers éléments à notre disposition ?
· Notre capacité d’analyser avec discernement des situations ?
· Aiguiser nos perceptions sensorielles et intuitives ?
· Notre curiosité avec ce désir de comprendre, de savoir, de connaître des choses nouvelles, d’apprendre à se connaître ?
· La confiance en soi, ou cette sensation intérieure qui nous permet à nouveau de se fier à cette mise en place de son désir, son besoin ?
· La liberté intérieure, en osant être soi, quitte à prendre distance avec les normes imposées ?
· L’humilité, de revenir à notre « humus » personnel, en s’observant de manière réaliste, oser reconnaître sa propre faiblesse, tenir compte de ses propres limites ?
#6 « Etre un Homme, disait Antoine de St Exupéry, c’est être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde »
Comment nous encourager alors, à être responsable de nous- même d’abord, à nous ouvrir à l’expérience favorisant la connaissance de soi.
Selon les anciens taoïstes « La vie est, au mieux, un processus fluide et changeant en lequel rien n’est fixé »
« Dès que l’on m’accepte tel que je suis, je change, voilà un curieux paradoxe », relève à son tour, Carl Rogers.
Un paradoxe qui peut conduire à l’harmonie pour accueillir tendrement et fidèlement la présence de l’autre, la sienne, celle du passé qui résonne encore et qui fait écho à celle du futur.
Tout acte que je pose pourrait avoir un certain nombre de conséquences sur l‘équilibre ou le déséquilibre de l’univers dans lequel je vis.
Comment comprendre que je puis regarder l’autre de plusieurs manières suivant les filtres de perception que je vais déployer.
Ces filtres sont tout ce qui pourraient influencer notre regard sur l’autre, tels des préjugés, une méfiance, des frustrations, des illusions, des croyances, un désir… une attente interminable…
Comment comprendre que je peux me regarder de plusieurs manières également, par contre, comment accepter de me laisser regarder, juste par moi-même, de m’accepter tel que je suis… de le cultiver…