Champs Morphogénétiques®
Emile Pinel Emile Pinel (1906-1985) mathématicien et biologiste.
Il est à la fois théoricien et expérimentateur; mathématicien et biologiste : c’est cet exceptionnel ensemble de compétences qui fait son originalité. Certaines conséquences de ses travaux sont pour le moins surprenantes, comme par exemple le fait que lorsqu’un individu meurt, sa partie « matière » meurt mais pas sa partie « psychique ». Il ne s’agit pas d’une élucubration mais d’une conséquence logique de ses équations. Emile Pinel est un authentique savant, reconnu d’ailleurs comme tel par les éminentes personnalités qui ont préfacé ses ouvrages ou commenté ses travaux, comme L.J.Delpech Professeur à la Sorbonne, Président de la Société Française de Cybernétique , Raymond Lautié, Docteur ès sciences physiques, le professeur Leriche, le professeur Auguste Lumière ..et bien d’autres . Par ailleurs, d’aprés le Comité de soutien au Professeur Emile Pinel, environ 7000 malades peuvent témoigner (Réf.5) en faveur des méthodes qu’il a préconisées et appliquées. Emile Pinel a écrit un livre « grand public » intitulé « En quoi consiste exactement ses travaux ? Voici ce qu’il écrit (p.57): « les systèmes d’équations auxquels j’ai abouti constituent un « modèle mathématique » de la cellule qui permet de retrouver mathématiquement, sans les expliquer biologiquement, les phénomènes normaux ou anormaux constatés dans les cellulles: bipartition, polynucléose, multiplication « anarchique », régulation. Ces équations sont intéressantes car : -elles ne font pas intervenir de paramètres caractéristiques des types de cellules et sont donc applicables à tout le domaine vivant. -elles font intervenir, parmi d’autres paramètres, l’accélération de la pesanteur, la gravitation, et permettent donc d’augurer des changements d’équilibre susceptibles de se produire dans les cellules des êtres qui échappent à notre planète. Les constatations biologiques faites au cours de vols spatiaux, en apesanteur, semblent confirmer mes prévisions. » La notion de champ biologique. Il faut maintenant rappeler ce qu’est un « champ de force « . C’est simplement l’existence d’une force bien définie en grandeur, direction et sens en tout point de l’espace. Tout le monde connaît le champ de pesanteur (le poids des objets). De même tout le monde connaît le champ magnétique qui fait dévier l’aiguille d’une boussole. A l’intérieur de la cellule se passe un certain nombre de phénomènes qui font appel à des forces :déformation, transport de molécules ..etc… Emile Pinel commence la création de son modèle mathématique de fonctionnement de la cellule en étudiant la vitesse de déplacement d’un point à l’intérieur de la cellule (dans le noyau ou le cytoplasme). Compte tenu de la nature particulière de l’espace cellulaire il est amené à écrire des équations assez complexes. Surtout, il constate qu’une analogie de type électrique peut lui donner exactement les mêmes équations à condition de faire intervenir des champs d’un type particulier. C’est de cette analogie que sont « nés » les champs…. Emile Pinel montre que leur existence réelle est très probable. On est ici dans une situation analogue à celle du temps du physicien écossais Maxwell. Celui-ci avait théoriquement prédit en 1864, dans ses fameuses équations, le champ électromagnétique (responsable entres autres des ondes radio) mais il a fallu attendre les expériences de Hertz en 1887 pour montrer que ce champ électromagnétique existait réellement, champ que l’on a appelé plus tard les « ondes hertziennes » « ou ondes radio ». [La démonstration de la réalité de la partie électromagnétique de ces « champs d’un type particulier » a été faite autour des années 1966 (p159)]. Mais revenons à la cellule. Compte tenu de « l’analogie électrique », les équations d’Emile Pinel montrent qu’à l’intérieur du noyau de la cellule, les phénomènes qui s’y passent peuvent être décrits en admettant l’existence d’un champ intranucléaire H unique, « physico-psycho-biologique »! (p.52). Ce champ H est complexe : il est composé de 3 champs de nature différente, H1, H2, H3, ayant eux mêmes trois composantes! Le champ H a donc 3×3 =9 composantes. Emile Pinel écrit (p.63) » Il est évident que l’ensemble des champs H constitue un ordinateur [c’est à dire un programme] dans lequel le champ d’indice 3 transmet les ordres du champ d’indice 2 au champ d’indice 1 « Une définition plus précise des champs H1, H2, H3 est donnée ci dessous (p.138): « H2 doué de mémoire renfermant toute la programmation cellulaire… H3 de transmission des ordres de H2 au champ exécutant .Ce champ dans le noyau se présente comme un champ de forme . H1 magnétique, exécutant les ordres de H2 qui lui sont transmis par H3 . » Ces champs sont, pour nous, aussi impalpables que le champ magnétique, pourtant ils agissent sur nous. Mais le plus curieux est qu’à la mort de l’individu les équations indiquent que deux de ces champs « meurent » mais pas le troisième. Pour comprendre cette « bizarrerie » il faut se rappeler que le déplacement d’un point à l’intérieur de la cellule se transforme , dans l’analogie électrique , en un voltage E. A la mort de l’individu, il n’y a plus de voltage, donc E est nul. Il en résulte bien sûr que la partie droite de l’égalité doit être nulle elle aussi. Il se trouve que les coefficients A,B,C ne pouvant être annulés il faut alors annuler les quantités H1, H2 et dH3/dt.C’est pourquoi nous disons que les champs H1 et H2 « meurent ». Mais le champ H3 ne « meurt » pas, c’est sa variation en fonction du temps qui meurt. Autrement dit, à la mort de l’individu, le champ H3 ne varie plus, il doit donc rester constant. Or il se trouve que ce champ a une composante psychologique, constatée par Emile Pinel sur les malades qu’il a soigné. Il écrit (p.188): » Il est curieux de constater que, parmi les trois champs intracellulaires, seul le champ H3 subsiste […] [Ce champ H3] est un champ psychophysico-biologique; seules subsistent ses propriétés psycho-physiques; par suite, après la mort, ce que l’on appelle les impondérables subsisteraient dans le flux d’un champ physique, flux aussi impalpable à mon sens que le flux d’un aimant; il semble bien que les moyens physiques de détection dont on dispose présentement soient impuissants à le mettre à jour « Il faut reconnaître que ce court extrait est assez difficile à comprendre si l’on n’entre pas dans le détail des calculs, il donne cependant une bonne idée de leur portée . J.Bousquet dans son article (-p8) résume fort bien ce résultat en écrivant: « Toute incarnation implique une mort inéluctable de la forme physique mais implique également une survivance au niveau du champ de forme contenant les impondérables, donc le psychisme « . |
Références & Bibliographie
Le livre de la Vie et de la Mort - Maloine
http://www.arsitra.org/public/Vie-et-mortOCR.pdf
S.NAHON - https://www.cielterrefc.fr/exterieurs/la-planete-et-lunivers/sciences-et-au-dela/travaux-demile-pinel/
http://www.arsitra.org/public/Vie-et-mortOCR.pdf
S.NAHON - https://www.cielterrefc.fr/exterieurs/la-planete-et-lunivers/sciences-et-au-dela/travaux-demile-pinel/